Mon histoire commence...

Je vais mettre le chapitre un de ma nouvelle histoire ^^.


Personnage:

chapitre un le commencement

Je me souviens de cette nuit. Je marchais dans la ville de Paris accompagné de ma domestique, j'étais une Marquise de haut rang, d'une ligné de riches personnes. Ma domestique n'était pas là, je me demande où elle se trouvait en ce moment, j'étais partis pour aller la récupérer, mais je ne la trouvais pas, je partis dans une ruelle assez sombre. Je ne prêtais même pas attention aux rats qui passaient entre mes jambes pour tenter de me faire peur. La puanteur de cet endroit était nauséabonde. Je sortis un mouchoir blanc de mon corset. Pour me le mettre sur mon doux visage de porcelaine. Au fur et à mesure que j'avançais dans cet endroit mon cœur battait plus vite. Je me sentais mal. J'avais peur de cet endroit. Je ne savais pas où je marchais et mon regard partait dans tout les sens. Pourquoi est ce que ma domestique n'était pas là, c'est alors que j'avais entendu un cri de femme. Mon visage changea et je voulais faire demi-tour mais cette voix était celle de Paula ma domestique. Je courais dans la ruelle jusqu'à ce que je trouve son corps sans vie et deux morsures au niveau de la jugulaire. Qui avait bien pu faire une chose pareille... un animal sauvage ? Un chien ? Une chauve-souris... je n'en avait pas la moindre idée. Ma respiration se faisait faible même un peu trop faible. Je me releva, le corps de Paula m'attristait beaucoup, je la considérais comme une mère pour moi, elle était âgée de cinquante six ans. Cela me faisait mal au cœur. Je marchais pour retourner à ma diligence, quand j'entendis un rire d'homme, mon sang ne fit qu'un tour et je commençais à courir sans regarder qui il pouvait y avoir derrière moi. Mais je n'avais pas pensée que la personne serait devant moi. Il était habillé d'un costume noir, très classe surement une riche personne. Mais son sourire cachait bien des choses, que j'ignorais à ce moment là... pourquoi est ce qu'il me fixe ainsi. Ses yeux était d'un bleu foncé magnifique comme si ils brillaient pourtant la ruelle est faiblement éclairé. Et j'ai pu apercevoir ses yeux. Il s'approchait de moi dangereusement. Et au bout de quelques seconde il se trouvait devant moi, sa main passait dans mes cheveux, il avait de long doigts assez fin. Sa main faisait des légère boucle avec mes cheveux. Sur le coup cela me fit rougir. Il se recula et abaissa légèrement le torse et il posa sa main ganté sur son veston. Est ce qu'il serait un domestique ? Je n'en avais pas la moindre idée mais il me parla.

« veuillez m'excuser de cet affront très chère cela ne se reproduira plus... je ne suis qu'un simple majordome. »
« ne vous en faites pas très cher... je ne vous en veux pas... pour ce que vous avez fait »
« je ne parlais pas ce que j'ai fais mais de ce que je vais faire »

Il entrouvrit ses lèvres et je vis des canines blanche, ce pourrait-il qu'il soit un vampire... non cela n'existe pas... il dégageait mes cheveux de ma jugulaire et il lécha mon cou tout doucement pour me faire ressentir les sensations exquise de sa langue sur mon cou. Mais je le repoussa instinctivement et je me suis mise à courir dans la ruelle et dans mon élan avec le vent qui soufflait dans mon visage j'entendis « la chasse est ouverte » j'étais donc une proie... la proie de ce monstre... de ce vampire. Ma respiration se faisait essoufflé, j'avais le souffle coupé. Je faisais des crise d'asthme de temps en temps quand je courrais trop. Le sourire de cet homme me faisait peur. Certes il avait un visage doux tel un ange tomber du ciel mais en réalité il était un démon au service du mal... une créature de la nuit qu'on appelle vampire. Pendant ma course folle pour sauver ma vie. Je finis par sortir de la ruelle et mon coché était là. Il ouvrit les portes et je montais directement dans la calèche.

« à la maison vite! »
« Bien Lady Jessica »

Le coché fouetta les chevaux pour aller en direction de la maison Marquis. Je n'avais rarement peur. Mais cet homme me faisait réellement peur, j'avais encore des frissons rien que de sentir son souffle contre ma jugulaire et sa langue sur mon cou... ses yeux d'un bleu intense. Et sa voix envoutante. Je commençais réellement à tomber amoureuse de cet inconnu. Une fois arrivé dans ma résidence. Je partis dans ma chambre pour écrire ce que je pensais dans mon journal intime, sa couverture était de couleur bleu roi, la couleur des nobles, j'avais un cadenas dessus la clef se trouvait dans mon corset, je faufila ma main à l'intérieur et en sortit la clef. J'ouvris mon carnet et je commençais à écrire ma folle aventure avec ce mystérieux inconnu.

30 juillet 1910

Aujourd'hui c'est un jour heureux pour moi, j'ai atteins mes dix huit ans, il me reste plus que trois ans pour avoir ma majorité, cependant d'avoir dix huit cela ne me change pas réellement, j'ai été en ville à Londres mais rien ne c'est passé comme je l'avais imaginé. Tout d'abord en ville, pleins de personnes mécréante était là, et Paula est morte cette nuit là, ma chère Paula que je considérais comme ma propre mère. Elle a été mordu par une créature la nuit. Non je ne suis pas folle, un vampire je l'ai rencontrer et il a même voulut me mordre à mon tour. Je n'espère pas le revoir d'aussi tôt... enfin je l'espère. Car j'ai eu la frayeur de ma vie. Cet homme était d'assez grande taille du moins supérieur à la mienne, sa peau était de couleur blanche tel la neige mais pas seulement, son sourire était radieux, sa voix me donnait des frissons, quand j'ai sentis sa langue contre ma jugulaire mon rythme cardiaque c'est accéléré et je ne savais plus quoi faire. Ses yeux étaient d'un bleu à vous couper le souffle, il était comme éclairer par la lumière de la lune. Ses cheveux n'était pas tellement long, ils étaient de couleur brun. Ce qui le rendait particulièrement intéressant. À mon horloge, il est affiché une heure vingt-cinq du matin. Je ne me sens pas d'humeur à dormir après tout ce qu'il sait passer. Cependant un détail m'échappe encore. Si il est un vampire pourquoi ne m'as-t-il pas rattraper ?

Je terminais ma phrase comme ça et je le referma à clef. Je n'avais pas manger et je n'avais pas tellement faim. Une autre de mes domestiques était arriver pour me retirer ma robe et mon corset qui m'étouffait un peu. Je vivais dans la ville de Londres dans le quartier qu'on appelle East end, les quartier riche de Londres. Je regardais une dernière fois par la fenêtre, ma domestique se retira en me faisant un révérence et je partis pour me coucher quand je vis comme un visage à la fenêtre, je sursauta et frotta mes yeux et il n'y avait plus personne... est ce que je devenais folle. Quoi qu'il en soit se visage avait un sourire joueur. Je plongea enfin dans les bras de Morphée et m'endormis aussitôt en pensant à ce mystérieux vampire.

Je me réveillais de mon sommeil de plomb avec l'aide de ma servante, elle ouvrit les volet en le faisant bien exprès car elle ne m'aimait pas tellement, car tout les regards et tout les hommes aimaient regarder ma beauté... même si je me trouvais typiquement normal. J'avais une peau plus foncé que les autres mon teint était métissé. Pour une marquise cela faisait bizarre. Mais mon père le Marquis avait épousé une femme avec des origines indiennes. Cette dernière est morte à ma naissance et Paula c'est donc occuper de moi. Jusqu'à aujourd'hui... ma domestique me tira du lit et me dit de descendre pour voir le nouveau majordome de la maison Marquis. Je portais une robe de couleur rouge, un rouge particulier qui me faisait penser à la couleur du sang de Paula. Je descendais les marches tout doucement pour ne pas aller en bas. Mon regard était posé sur le sol. Et mon père me demanda de relever mes yeux du sol pour me présenter. Il avait fière allure le nouveau majordome.

« ma fille je te présente Victorian ou plutôt Victor Smith notre nouveau majordome »
« enchanté mademoiselle la Marquise »

Il posa un genoux à terre et prit ma main pour l'embrasser. Mon visage était bien trop stupéfait pour que je dise quoique ce soit. Cet mystérieux inconnu était devant mes yeux. À mon service... la partit de chasse allait commencer maintenant... à mon grand regret. Il se releva et me souriait sadiquement en se léchant la lèvre supérieur. Mon père quant à lui de remarqua rien... et dans un murmure mon majordome me dit.

« le jeu ne fait que commencer... »


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Vos Avis ? vos Critiques ? tout est ouvert , si oui ou non je fais une suite

Si oui ou non tu fais une suite ? Fait la j'ai adorer hihihi je suis pas si méchant enfin... Joueur je le suis

Jadore

Chapitre deux: rencontre et nouveau stratège

Je n'arrivais pas à défaire mon regard de ses yeux. Ses yeux avaient une teinte bleu impossible à oublier du moins pas depuis la nuit dernière. Pourquoi voulait-il jouer avec moi ? Qu'avait-il en tête. Je n'en avait pas la moindre idée... enfin la seule chose que je savais c'était qu'il était un vampire...enfin à ce que je pense il avait bu le sang de Paula... mon père me parlait mais je ne l'écoutais pas, je hochais la tête comme pour dire que j'écoutais. Le prénommé Victor se releva lentement et se redressais pour avoir une posture droite. Je repris mes esprits et salua mon père. Mon père se mit prêt de moi et me touchais la joue.

- tu as maintenant dix huit ans tu es une grande fille
- oui... et tu as su que Paula était morte la nuit dernière
- oui...j'ai appris je suis désolé Jessica...tu veux une nouvelle nourrisse ce n'est pas ce qui en manque ici.

Il ne comprenait donc rien du tout, j'avais seulement besoins de sa compagnie. Il me manquait je ne le voyais presque jamais toujours à être en déplacement pour des affaires, plus que louche d'ailleurs. Soit fait comme bon te semble, pour moi tu n'existe plus... je ne montrerais plus aucunes faiblesses. Mon père posa sa main sur ma joue et d'un geste simple je lui ôta sa main. Mon père semblait outré de ce que je venais de faire. Et dans un sourire dès plus distingué, je m'inclina poliment et me releva pour partir dans ma chambre. Je montais les marche des escaliers. Pour ensuite pousser la porte de ma chambre, elle était d'ailleurs très sombre, les lumières étaient éteinte. Je rentrais et pris le livre qui se trouvais sur ma commode, je le pris dans mes mains et fit demi-tour pour partir dans le jardin. Je me sentais un peu seule, je n'avais plus personnes avec qui discuter. Mon regard était dans le ciel, le soleil frappait sur mon visage. Je pris place dans l'immense jardin de la maison. Je finis par m'assoir sur l'herbe verte et tendre.


- puis-je prendre place avec vous milady... votre père ma demander de vous veillez

Je ne pensais pas qu'il allait être là, il m'avait sortis de mes songes. Je ne sais pas quoi lui répondre, je voulais qu'il soit en ma compagnie pour ne pas me laisser seule. Mais il était une créature de la nuit. Et aussi au service de mon père. Je finis par lui sourire gentiment, pourquoi est ce que mon cœur battait si fort. Quand le voyais, non je ne pouvais pas le croire. Je n'étais pas amoureuse de cet homme. Il était entrain de regarder la couverture de mon livre. Une magnifique histoire de Charles Perrault, qui s'intitulait la belle au bois dormant. Mon majordome finit par s'assoir prêt de moi. Et il me parla.

- une magnifique histoire je vous l'avoue
- oui elle est très belle, vous avez l'air d'apprécier les histoires très cher...
- non mais comme je suis un majordome je dois en savoir un minimum.
- qui êtes vous en réalité ?
- votre plus fidèle majordome bien entendu
- je ne vois pas d'autre majordome en ce moment... mais parlez moi franchement...êtes vous une créature de la nuit
- mademoiselle, les histoires vous monte-elle au cerveau... depuis quand le créature de la nuit existe-elle.
- mais...
- allez vous coucher....

Est ce que tout cela, je l'avais rêvé. Ou est ce qu'il me faisait tourner en bourrique. Je me relevais, et regardais si j'allais bien, ma température était tout à fait bonne. Alors pourquoi disait-il que je n'allais pas bien. Je m'inclinais poliment pour lui dire au revoir, quand je sentis sa main m'attraper le bras et il m'entraina à lui et sentant mon cou, je sentais sa langue passer lentement sur ma jugulaire. Il me plaquait contre l'arbre qu'il y avait à proximité. Il n'avait donc aucune manière. Sa main gauche passait sur ma taille.

- que faites vous... vous n'avez aucune manière
- comme je vous l'ai dis je ne qu'un majordome.. et je dois faire tout pour que ma maîtresse soit heureuse, n'avez vous donc pas goutté au plaisir charnelle ?
- vous êtes qu'un malotrus

Il me regardait dans les yeux et il finit par me lâcher, j'avais eu réellement peur, ma main se porta à ma gorge, je sentais encore sa langue sur mon cou. Pourquoi avait-il fait cela. À quoi rimait ce jeu. J'eus soudain une idée fort intéressant, étant donner qu'il était à mon service à l'heure du repas je n'aurais qu'à m'entailler le poignet pour voir comment il allait réagir. Je ne lui dis plus rien et je me mit à courir pour aller dans la maison. Je montais dans ma chambre et je ne bougeais pas. Je pris mon journal intime qui était cacher dans mon tiroir dans un tiroir à double fond. Que seul Paula et moi savons le secret.

31 juillet 1910

Cher journal

Je viens t'apprendre que à la suite de tout ces évènements, j'ai appris qu'on avait un nouveau majordome et ce n'est pas tout, ce majordome en question était celui qui avait tuer Paula, le vampire en question, je dois encore mener ma petite enquête. Pour ce soir j'ai eu l'idée de me couper le poignet pour voir si, il allait me mordre ou non. Quoiqu'il en soit mon père est encore partit je ne sais ou... et je me retrouve à nouveau seule, je ne supporte plus d'être seule, j'ai besoins de quelqu'un une personne avec qui me confier. Le soleil brille encore et il fait chaud dans ma chambre. Je te raconterais le reste plus tard.

Je fermais mon journal, et le rangea ou il allait. Je regardais ma pendule qui se trouvait dans ma chambre il était affiché dix huit heures et cinquante-six minutes. Je crois que monsieur Michaelis va pas tarder à toquer à la porte pour me demander d'aller diner. J'ai remarqué que cette journée est passer assez vite même un peu trop. Je portais ma main à ma jugulaire et je me remémorais ce qu'il m'avait fais. Et je me mis à rougir. Pourquoi est ce que cela m'arrivait à moi et pas aux autres. Comme je l'avais prédis on toqua à ma porte, elle s'ouvrit et le majordome de la maison Marquis montrait le bout de son nez. Je me relevais de mon lit et je le suivis. En chemin je restais silencieuse et je ne disais rien. Mes yeux étaient semi-clos. Victor ouvrit la porte du salon ou se trouvait la table. On avançait dans la pièce et il me tira la chaise pour que je prenne place, je m'assis et il avança ma chaise et humant mon parfum. Une odeur de violette m'entourait. Puis il partit en cuisine. Un couteau se trouvait prêt de moi, est ce que j'allais le faire ou bien allais-je renoncer à le faire. Mon majordome refit surface dans le salon, j'avais le droit à une magnifique salade joliment décoré, avait-il fait cela tout seul ? Ça avait l'air appétissant. Je pris ma fourchette et mon couteau pour commencer à manger l'entré dans le silence le plus total, Victorian me regardait manger. N'avait-il jamais vu une femme manger une salade. D'après ce que je savais, il avait déjà gouté au plaisir charnelle. Moi je n'avais pas assister à cela... je posa mes couvert et je regardais mon majordome dans les yeux, tout en essuyant mon couteau. Je me coupa au poignet gauche et le sang coulait, Victorian était arriver en une fraction de seconde, sa main tenait mon poignet. Il approchait ses lèvres et passa sa langue dessus. Allait-il me dévorer et me rendre une liberté...

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