une rencontre particuliére sur le port

Sa faisait déjà 2 mois que nous avions accoster en Angleterre pour refaire le ravitaillement du navire, je quitta le navire car je voulais marcher me dégourdir les jambes pour sa j’avais décide d’aller visite la ville pour me détendre un peut. Je décida en même temps de m’acheter un nouveau costume de pirate rouge sans oublier mon équipage, j’avais demande que se la sois livre a mon navire le quéen émèraldas. Je ne faisait même pas attention a l’heure qui passe je regarde le ciel le soir commençais a tombe sur l’Angleterre, je me remis en route pour rejoindre mon navire. Je traversa la moite de la ville pour rejoindre le port, cette fois la nuit était bien tombe. Quand a moi j’avais mis ma main sur le manche de mon épée car dans c’est rue faiblement éclaire il était facile de se faire attaque, et soudain une bande de flibustier me tomba dessus surement pour me dépouiller de mon argent. Je dégaina mon épée pour me défendre et se fus le duel, je pue tuer quelque flibustier de mon épée quand aux autre il me regarde froidement et le duel repris de plus belle puis un flibustier me blessa gravement sur le cote. La seul chose que j’avais a faire c’était de fuir se que je fis malgré ma blessure qui saigne abondamment, j’avais réussi a les semé mes je commençais a avoir la tête qui tourne est avoir trouble. Mais je continua a marche quand je vis enfin le port, et je perdis connaissance et je tomba par terre sur les dalles froide du port qui était désert. J’entendis du bruit qui s’approche de moi malgré que j’étais inconsciente, j’avais très froid car je perde beaucoup de sang. Est je senti que quelqu’un me soulever légèrement du sole surement pour voir mon visage, et j’ouvris légèrement les yeux pour les refermes aussitôt a causse de la douleur de ma blessure. Je sente sont regard sur moi car on pouvoir que j’étais française et ma tête tomba sur le coter, je me doute pas une seul instant que cette personne était un pirate. Finalement il me souleva surement du sole car je senti qu'il me porte dans ses bras. temps qu'à mes bras se balance dans le vide aussi que ma tête, et il me parla tout en marchant les bruit de c'est pas résonne sur les paves , d'état de question me traverse l'esprit comme qu'a les t il faire de moi . je sente aussi mes force me quitte car ma blesse était surement très grave , je puisa dans mes si peut de force pour dire ceci
-qui était vous monsieur
et je reperdis connaissance , mais je pouvais entendre toujours les bruit de ses pas sur les paver du port . je me demande ou m'en me n'est il , et enfin je senti qu'ont me poser sur quelque chose de dure c'était surement une table

La terre n'était plus très loin. C'était le moment pour l'équipage d'acoster. Arthur en avait décidé ainsi donnant comme à son habitude un moment de repos pour le bateau. Il devait être réparé car la dernière bataille qu'ils avaient fait avait coûté la vie à deux des membres de l'équipage et un blessé assez grave. Cela agaçait le jeune capitaine et il ne supportait pas la défaite. Pourtant ils avaient gagné, ils avaient détruit une flotte américaine et les avaient pillé jusqu'à la plus petite onse de pièce d'or qu'ils possédaient. Arthur avait été amusé par le regard suppliant et pleurnicheur qu'avait eu les américains. C'était pour cela qu'il les détestait. Renier leur rang anglais pour se créer une nouvelle vie mais ne sachant pas se battre était une chose que le capitaine d'England's fairy ne pouvait supporter. Comment l'Angleterre avait pu se soumettre à leur indépendance au bout de 8 ans de guerre ? Arthur se le demandait encore.

Mais laissons de côté tout cela car le plus important était que le pays tant chéri par Arthur était en vue et qu'il allait retrouvé cette vie de douceur et de calme pendant trois mois. C'était le delais qu'il donnait à son équipage quand il le décidait. Le bateau à quais, Arthur prit de deux de ses hommes pour porter le blessé grave et ils l'emmenèrent dans une sorte d'hopital. Quand ils furent sur qu'il allait bien, Arthur et ses hommes retournèrent au navire. Cela avait duré que très peu de temps au plus grand plaisir d'Arthur. avant que le capitaine n'aille s'occuper des règlements avec les finances des personnes chargées de réparer le navire. Il était facile de soudoyer des hommes avides d'argent en leur donnant beaucoup d'or. Les caisses d'Arthur étaient bien pleins et il pouvait se permettre d'en donner pour avoir la meilleure réparation qu'il voulait. Il connaissait les bienfaits des personnes qu'il payait car à chaque arrêt à Londres, Arthur allait leur demander des services. Après avoir terminé avec cela il retrouva son équipage devant le bateau et il leur expliqua que c'était règlé. Ils commencèrent alors à partager leur or. C'était une tâche rapide et équitable. Personne n'avait plus d'argent que d'autres. C'était les exigeances d'Arthur pour ne pas avoir des conflicts avec son équipage. Il voulait être soudé avec son équipe sans tension parmi eux et cela ils avaient bien compris.

Un peu plus tard, quand les parts étaient faites et prises par l'équipage, Arthur partit de son côté pour se promener un peu avant de mettre son accoutrement d'aristocrate. Le soir tombait doucement et s'il avait voulu il serait déjà rentré chez ses parents mais il voulait s'amuser un peu cette nuit. Peut-être une belle victime se montrerait, imprudente et sans défense. Tout d'un coup il entendit des pas arrivés doucement vers lui. Il marcha plus lentement pour mieux écouter mais il se rendit compte que c'était des pas saccadés et irréguliers comme une personne blessée. Il fronça les sourcils il vit une femme débouchait sur les quais couverte de sang. Il entendit plus loin dans les rues de Londres des cris de recherches et des tirs d'armes à feu se faisaient entendre. Arthur se précipita sur la jeune femme qui était vraiment mal en point et la porta dans ses bras. Il ne prit pas le temps de savoir si c'était bien utile de l'aider ou pas. C'était un peu son côté aristocrate qui ressortait. Il s'en fichait, la seule chose qui lui venait en tête était de se cacher le plus rapidement possible avec la femme. Il décida alors de se cacher dans son navire et ainsi pouvoir éloigné les personnes à la recherche de la... Il regarda rapidement la jeune fille et se rendit compte qu'elle était pirate. Il fronça les sourcils mais ne releva pas cela.

Il courut donc vers son navire en espérant que les personnes à sa recherche n'était pas déjà derrière lui. Il vérifia par la même occasion si le sang qui coulait de la pirate ne laissait pas une piste pour les poursuivants. Si ca avait été le cas il aurait demandé à ses coeéquipiers encore au navire de faire une fausse piste. Heureusement en regardant derrière lui il n'y avait aucune gouttes de sang sur les dalles froides et non régulières. Arthur rentra dans son navire et convoqua tout ceux de son navire encore présent pour leur demander d'aller chercher un medecin rapidement. Il resta au côté de la jeune pirate. Pendant le trajet de l'endroit où Arthur l'avait prise dans ses bras et le bateau, la jeune fille avait parlé un peu mais pas assez fort pour qu'il est pu distingué des paroles audibles.

Quand le medecin arriva, Arthur lui ordonna de soigner rapidement la jeune femme contre une bonne poignée d'argent. Celui-ci s'excuta. De toute façon, il connaissait le capitaine et ils savaient que l'un pouvait compté sur les qualités de l'autre. Seul le medecin avait un désaventages envers Arthur. C'était de connaitre le passé de celui-ci. Le pirate savait parfaitement le passé du medecin alors que celui-ci ne le connaissait pas du tout. Mais laissons de côté tout cela car en ce moment la jeune femme se faisait soigner sur une table de décoration qui se trouvait dans l'immense cabine d'Arthur.

Arthur regardait la femme allongée sur sa table de décoration maintenant devenu une table de soin. Du temps qu'elle servait c'était le principale s'était dit Arthur et il avait plutôt bien raison. Quand il vit les moyens utilisés pour soigner la femme, le pirate savait qu'elle allait avoir mal. Même une personne inconsciente pouvait se réveiller pour crier sa douleur. Il se demandait si elle allait le faire ou pas. Il ordonna tout de même à des hommes de son équipage de se tenir prêt si elle risquait de se débattre lorsque le médecin lui enfoncera son scalpel dans la peau.

Comme l'avait prévu Arthur mais aussi le médecin, la femme se réveilla d'un coup pour hurler et se débattre. Le pirate cria à ses hommes de se jetter sur elle pour l'empecher de bouger. Arthur avait déjà senti la douleur que prodigueait ses satanés scalpels et autres outils utilisés pour la médecin et c'était très désagréable de sentir cette chose vous trancher la peau sans que vous ne puisiez rien faire. Pourtant c'était une façon de pouvoir aider une cicatrice à se refermer plus rapidement et éviter le pue de se loger sur les plaies.La femme criait tellement fort qu'Arthur ordonna de la faire taire. Une personne alla chercher un tissu propre et le mit dans la bouche de la dame qu'elle mordit tout de suite. Les cris s'estompèrent tout de suite. Quelques minutes plus tard, les réactions de la femme s'arretèrent indiquant qu'elle s'était de nouveau évanouit. Les hommes de l'équipage s'écartèrent un peu sous les demandes de leur capitaine mais ils restèrent tout de même à proximité au cas où.

C'était une attente longue et très ennuyant qui s'entamait en ce moment Arthur se demandait quand est-ce qu'il pourrait bien rentrer chez lui. Il avait pourtant prévu de rentrer le soir même mais avec ce qui venait de se passer il était plutôt impossible de penser à cela. Il décida de rester quelques jours dans son bateau et attendre un peu. Il sortit un peu prendre l'air et de parler avec son équipage de la situation. La moitié de ses hommes était parti de leur côté et le reste était les personnes n'ayant pas de maisons, ni de famille. Quand Arthur termina de leur parler, il alla regarder la mer.

Quelques minutes plus tard, il entendit la porte de sa cabine s'ouvrir. Le médecin en sortit un immense sourire sur les lèvres. Cela était un très bon signe et il lui expliqua que l'opération c'était très bien déroulé et qu'elle pouvait se réveiller d'un moment à l'autre mais qu'elle ne doit absolument pas se lever sous aucun prétexte. Arthur acquiesca et retourna dans sa cabine. Il marcha jusqu'à Queen. Le médecin l'avait déplacé de la table au canapé-lit d'Arthur. Le capitaine fut satisfait que cette personne si doué d'intelligence qu'était le médecin avait eu l'idée de la changer de place pour qu'elle se sente mieux. Il s'assit alors juste à côté d'elle sur une chaise qu'il avait ramené et attendit son réveil.

Cela ne fut pas si long car elle bougea doucement avant d'ouvrir ses yeux. Mais elle se releva d'un coup ce qui ne suprit pas totalement Arthur. C'était ce qu'il aurait fait s'il s'était retrouvé dans un endroit qu'il ne connaissait pas. Il soupira et se releva pour l'obliger à se recoucher.

- Merci de m'avoir sauver la vie, et au faite puis-je savoir votre nom, s'il vous plait.

Quel accent étrange. Ce mélange entre le français et l'américain était assez bizarre et cela donnait des frissons au jeune anglais qui détestait les américains. Pas tellement les français puisqu'ils étaient gentils mais très égocentrique et surtout pervers le plus souvent. Arthur ne répondit pas il n'avait pas envie ce n'était pas l'heure des présentations mais tout d'abord des soins que la femme avait besoin. Il ne voulait pas faire l'infirmier mais vu qu'il était le seul dans cette cabine avec la dame il était tout de même obliger de le faire. Il lui mit une serviette humide car il avait sentit en lui mettant la main précédemment que son front était bouillant ce qui était du à une fièvre. C'était normal ce genre de réaction lui avait expliqué la première fois le médecin. Les anticorps travaillent durent et réchauffent le corps.

- Je me présente je m'appelle quéen, quéen émèraldas.

Arthur acquiesca seulement. A quoi cela pourrait bien servir de répondre à une femme qui est convalescente. Il vallait mieux attendre qu'elle aille mieux et lui répondre convenablement. Il était allait cherché de l'eau froide mais juste au moment où il revint, il vit la femme se mettre assisse avant de s'allonger de nouveau sans avoir eu le "plaisir" de la coucher de nouveau. Il s'assit à côté d'elle sur cette chaise précédemment déplacé près du canapé-lit et il lui prit la serviette la trempa dans l'eau froide. Il l'essora pour le remettre délicatement sur le front de la femme. Un pirate pouvait être gentil mais il ne fallait pas en demander de trop. Si par malheur cette dame était insupportable il la fera sortir de son bateau convalescente ou pas !
Il remarqua qu'elle s'était endormi. Ce n'était pas de l'insconscience car elle avait pris une respiration régulière et calme.

Arthur soupira et sortit de la cabine pour dire à son équipage qu'elle s'était réveillé et qu'elle s'était présenté sous le nom de Quéen Eméraldas. Les hommes se regardèrent. Une seule personne en avait entendu parlé :

- Capitaine ! Cette Dame est un pirate sillonant les mers avec son équipage composé seulement de fille ! Elle est redoutable et elle fait parti de la flotte américaine si mes souvenirs sont bons.

Arthur le regarda méchamment et le prit par le col de la chemise. C'était une personne plus petits que lui le capitaine se faisait une joie parfois de l'effrayer bien que le petit ne s'était jamais laissé faire ce qu'Arthur appréciait chez lui. En ce moment, le petit essayait de se défaire de la poigne du pirate. Celui-ci lui demanda :

- Tu es sur de sa nationalité ?!, Il le lacha avant de continuer, Je ne peux pas accepter une personne comme celle-ci sur mon bateau ! Mais je vais attendre qu'elle me confirme cela par ses mots ! Je ne veux pas avoir de compte à rendre envers un autre pirate quelque soit le genre de personnes elle est !

Les hommes de son équipage acquiescèrent avant de partir là où il voulait. Arthur voulait rester seul. Il alla s'asseoir sur le pont et regarda la mer au loin en attendant que la personne qu'il avait désigné comme le guet lui disait que la femme s'était réveillée.

Arthur était tranquillement en train d'attendre. La mer l'apaisait un peu mais il se dit qu'elle lui manquerait pendant ses trois mois à rester sur la terre. Comme d'habitude, il allait avoir le mal de la terre lorsqu'il se réveillerait le lendemain s'il rentrait chez lui. Il resta à révasser en se demandant quand est-ce qu'il reverrait ses soeurs. Il esperait qu'elles allaient bien et qu'il les retrouverait. Ce n'était pas pour cela qu'il était devenu Pirate mais peut-être que ca lui permettrait surement d'aller les trouver. Il esperait aussi revoir sa fiancé. Il se demandait parfois, si elle était encore en vie, qu'est-ce qu'elle pouvait bien faire en ce moment. Etait-elle devenu pirate ou bien est-elle restée Aristocrate ?

" Cap'tain ! La femme vient de se réveiller !"
" T'a-t-elle dit quelque chose ?"
" Où elle était, Cap'tain ! Elle m'a un peu parlé... Elle est sympa comme femme."
" Bien... Je vais la voir..."

Arthur alla dans sa cabine et vit la femme allongée, s'attendant surement à sa venue. Le capitaine lui changea la serviette car il trouvait qu'elle était bien chaude puis il s'assit. Arthur sentait le regard de la dame sur sa personne mais cela ne le dérangeait nullement. Elle pouvait penser ce qu'elle voulait mais le capitaine avait une mauvais opinion sur elle pour l'instant sur ce qui la concernait. Faisant parti des bataillons Américains... Comme si c'était une bonne chose d'avoir aider une personne comme celle-ci. Une ennemie... C'était impossible. C'était une erreur de sa part d'avoir fait cette action. Arthur ne pouvait y croire mais le doute sur l'identité de la femme pesait assez. Il resta longuement à réfléchir sur cela avant qu'il n'entende la voix faible et presque inaudible de la dame:

" Ecoutez si vous avez des questions à me poser alors posez les moi, et je répondrais à vos questions."

Arthur ne voulait pas poser ses différentes questions qui l'agacaient plutôt grandement. Il préférait les garder pour l'instant et les lui posaient plus tard, lorsqu'elle irait un peu mieux. Quelques minutes passèrent et elle devait peut-être se demander pourquoi le capitaine ne lui disait rien mais cela il s'en fichait.

" J'ai très soif, est-ce que je pourrai avoir à boire ?"

Arthur soupira. Il attendit quelques secondes avant de se lever. Normalement ce n'était pas à lui de le faire mais les autres étaient sur le pont et il n'avait pas envie d'être embeté par une des personnes de son équipage. Peut-être qu'un des siens se prendrait d'affection pour la femme ce qui pourrait causer des problèmes majeurs pour le pirate. En effet, un mousse pourrait bien aimer la femme en amitié et faire tout son possible pour l'aider dans tous les domaines et surement partir après du bateau ce qu'Arthur ne voudrait absolument pas. Le capitaine alla dans le fond de sa cabine, ouvrit un robinet et remplit un verre. Il revint vers la convalescente et voyant qu'elle ne pouvait pas bouger pour boire, il soupira et mit une de ses mains derrière le dos de la femme pour lui porter le verre à ses lèvres. Elle semblait tellement faible qu'il se demandait si elle allait réellement s'en remettre ou pas. Elle but quelques gorgées du verre et quand elle semblait avoir terminer, Arthur le redéposa doucement. Le capitaine se mit debout et alla regarder depuis sa cabine la mer qui s'agitait doucement avec la douce brise du vent. C'était le soir et le soleil commencait à disparaitre doucement derrière l'horizon. Arthur observa un peu ce paysage avant de retourner s'asseoir auprès de la jeune convalescente et le regarda, l'inspectant et se demandant qui elle était vraiment.

" Je voudrais savoir est-ce que vous êtes un mousse de ce bateau. C'est juste une question."

Arthur haussa un de ses sourcils et voulut s'amuser un peu. C'était bien la première fois que l'on lui disait qu'il était un mousse depuis qu'il était devenu capitaine. Simplement pour le plaisir il finit par répondre avec un immense sourire et employant le même langage que son équipage :

" Oui j'suis un mousse et mon cap'tain m'a demandé d'vous surveiller"

Il n'employait pas souvent ce genre de langage mais il avait l'habitude pendant les fêtes qu'ils organisaient à bord de son bateau pour acclamer une de leur victoire d'une bataille, de parler avec son équipage dans leur façon de parler ce qui était plutôt bien apprécié parmi les membres. Arthur voulait être proche de son équipage c'est pour cela qu'il faisait cela. Mais passons, là en ce moment il était dans la peau d'un de ses mousses et il devait bien jouer le rôle avant de dévoiler son identité à cette femme qui le prenait surement pour un mousse. C'était une idée plutôt amusante, c'est vrai. Il se demandait comment allait continuer cela. De toute façon pour l'instant cette dame devait rester couché car elle avait l'obligation de se remettre de ses blessures il dit :

" Ma p'tite dame ! Vous devriez vous r'poser... Notre capitaine s'rait furax de savoir que vous n'êtes pô remis parc'que vous pioncez pô !"

Quelle langage Arthur venait-il de prendre. S'il parlait comme cela devant son père ou bien un aristocrate, il se demandait bien comment allait réagir ses nobles de la haute bourgeoisie. Mais seulement en imaginant leur tête cela faisait rire intérieurement Arthur. C'est vrai que s'exprimer comme cela était amusant. Il se releva pour humidifier de nouveau la serviette et la remit sur le front de la dame. Il demanda enfin :

" Dites... M'dame... Mon cap'tain a dit qu'il vous a sauvé alors que vous étiez poursuivi... Mais par qui ?"

Petit curieux mais Arthur voulait savoir par qui elle était poursuivit si par chance elle arrivait à s'en souvenir car après ce qu'elle avait subi juste après pour se faire soigner c'était plutôt difficile de penser à autre chose pour l'instant mais si elle avait besoin d'un peu plus de temps pour pouvoir parler correctement cela ne dérangeait pas Arthur si elle lui disait à la fin de quel bateau et de quelle nation elle venait. De toute façon c'était son but à Arthur. Connaitre qui elle est vraiment et pourquoi elle était poursuivi.

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