Coming from away [Pv. Mélody K.]

« Et si le monde était plus juste avec vous
Et si le monde vous avez laissé ce qui étaient votre
Seriez vous toujours le même, Monseigneur
Seriez vous vraiment aussi mesquin qu'à présent ?
Je ne le crois pas, j'étais vôtre bouée, mais contre votre gré
Les vagues m'ont emmenez ailleurs, et si je reviens
Je ne serait surement plus le même, et plus le votre »

Sentir le sol se perdre sous nos pieds, les vagues vous donner cette sensation de flotter, cette sensation de ne plus faire partit de ce monde humain. Lorsqu’on navigue, il nous arrive parfois la sensation de perdre le pied, de vivre ailleurs, de se sentir ailleurs. C’est comme le moment où on sent qu’on ne fait plus partit du monde dans lequel nous sommes né. Les bruits autour de vous ne sont plus ce qu’ils étaient. La magie de la mer vous prendre soudainement. C’est un sentiment que seul elle peut vous donner, peu importe les bonnes ou mauvaises expériences que vous y avez vécus. Mais cette sensation est encore plus forte lorsque vous êtes en pleins sommeille et lorsque votre esprit peut vous jouer toute sorte de tour, vous retournez dans le passé, vous faire sentir des sensations que vous n’aviez vécu qu’à bord de votre bateau. Vous avez l’impression que votre ancienne vie que vous y avez menez revient dans vos rêves.

Mais la nuit n’est pas là pour rester, elle part et lentement, l’atmosphère se réchauffe, la clarté revient. Les bruits des autres qui se réveillent ne sont pas aussi beaux que ceux que vous aviez eus dans vos rêves, les bâillements ne sont pas aussi intéressants que la voix qui se murmurait dans votre oreille. C’est comme cela. Le matin se lève lentement, et on voie, à l’horizon déjà les côtes américaines. C’est là que vous vous rendez compte que votre rêve est complètement terminé et que vos désirs les plus profonds deviennent de piètres souvenirs.

Il sentit sous lui une surface plus dure, plus inconfortable que celle où il s’était accoté la veille. Il entendait au loin les bruits des matelots se charger des gros travaux, tandis que lui, était bien installé sur le sol, oui, sur le sol. Se relevant doucement, il remarqua les deux seuls lits vides près de lui, et ce n’était pas quelque chose d’anormal. Il était un homme qui veillait, et qui ne se levait pas aux premières heures. Il n’était pas du genre à être le premier levé, mais était toujours celui qui restait le dernier debout. C’était un jeune homme de nuit, d’amusement, de veillé et de plaisir. Dehors, les voix se faisaient plus forte, plus énergique, et à en comprendre l’agitation, il devait être enfin arrivé, après autant de temps sur les mers, près de la côte des Amériques. Où, il était supposé être installé sur la côte Est des États, près de Philadelphie, la ville où il devrait se rendre dans trois jours, car pour l’instant, son commerce se limitait aux villes de la côte, et c’était le moyen ainsi de se remettre de son long voyage. Il irait surement boire ce soir avec les autres ramenant quelqu’un avec lui où se trouvant une chambre plus loin. Le jeune Seth se leva lentement, lorsqu’il entendit des pas dans les escaliers apercevant un jeune blond lui tendre la main.

« Monseigneur Kingdom, vous ne penseriez pas que le lit serait plus confortable que cette surface de bois ? »

« Vous avez totalement raison, mais il fallait que j'essaye quelque chose de nouveau cette nuit, Monsieur Alexander »

Soupirant doucement, il se leva en lui tenant la main puis se regarda vaguement dans le miroir près de lui, tandis que le jeune homme prenait un sac sur le lit supérieur, s’étirant légèrement pour l’atteindre. Jamais il ne demandera d’aide, pensa lentement Seth. L’anglais ne resta pas longtemps. Oui, le marquis avait dû partager sa chambre avec une autre personne, mais cela n’avait été qu’à son propre plaisir et amusement. Ce jeune homme avait eu le don de l’amuser pendant leur grande route. Il avait trouvé le moyen de lui piquer sa curiosité. Il retira rapidement le pyjama de soie qu’il portait, et enfila avec souplesse et rapidité une chemise de soie blanche, attachant son coup d’un nœud bleu, un pantalon noir et d’un seul mouvement rapidement, ajustant sa veste sur lui. Ses pieds ne prirent pas de temps à trouver ses chaussures, tandis que ses mains, lentement, installèrent sur sa tête son typique chapeau qu’il ne quittait pas. Il ne prit pas la peine de se coiffer les cheveux et rapidement, il prit l’arme à feu et son poignard sous son oreiller et les arrangea à sa ceinture.

Aujourd’hui, il avait eu ouïe que des pirates seraient surement dans le coin. C’était l’occasion de se protéger, mais aussi de voir si sa marchandise les intéressait aussi. Monté sur la passerelle, il s’installa deux petites minutes, regardant les matelots prendre leur affaire et se saluer entre eux. Le trois-quarts reviendrait dans un mois, mais certains resterait ici si l’envie leur prenait. Il était un de ceux qui ne resterait jamais ici, car son entreprise en Angleterre n’allait que trop bien pour la quitter. Puis, enfin, il se décida prenant ses choses et quitta la passerelle pour se rendre sur le pont, voyant les tonneaux de faire amener par plusieurs personnes. Près d’eux un autre bateau du nom de «Quéen Émèraldas » se tenait et il en aperçut plusieurs personnes aussi faire les mêmes choses qu’eux de son côté. Il salua lentement certains hommes qu’il reconnut et quitta le navire dans le but de faire la connaissance de plusieurs personnes.

Voyant un tonneau roulé jusqu’à lui, il l’arrêta rapidement du pied et le remis droit, le tenant légèrement et regardant à qui il pouvait appartenir. La seule idée qui lui vint fut de regarder autour, mais personne ne sembla y prêter attention. Soupirant, il le fit à rouler à son tour dans la direction qu’il l’avait vu venir et se retrouva face au bateau Émèraldas qu’il avait aperçu. Faisant un geste du pied, il le releva, le mettant droit et demandant à la première personne qui descendait du pont si cela leur appartenait. Il entrevu des cheveux noirs, et aussi des yeux turquoise qu’il le surprit un instant.

On avais accoste la veille au soir, se matin c’était le grand jours car on aller faire le plein du navire et réparait les quelque dommage du navire qui avais était causse laure d’une tempête. Se matin on c’était tous lever de bonne heure pour travail a l’haube, et on semis tous au travail après un bon petit déjeune. Temps qu’à moi je devais superviser les marchandise et la carguer-son, t elle était mon travail vus que j’étais le bras droits du capitaine on travaille tous dans la bonne humeur. Quand je vis un navire s’accoste juste a cote de nous, quand a leur membre d’équipage il faisait la même chose que nous. Et je vis un homme descendre de se navire et regarde notre bateau, je le regarda pendant quelque minute et je le vis arrête un tonneau qui avait roule jusqu’à ses pieds et l'arrêta et le mis debout. Et jarretas de le regarde pour me remettre au travail, quand enfin tous la marchandise et la carguer-son était enfin abord je pus enfin me repose un peut. Et je me mis a nettoyée mon arme sur le rebord de la rambarde, mes je ne fis pas attention que j’avais pousser mon arme avec mon coude et elle tomba du navire et alla se plante juste devant les pieds du jeune homme qui lui fis un bon de recule. Je le regarda complément paniquer car je ne l’avais pas fait exprès, je descendis de la passerelle en courent est alla voir le jeune homme en question et je me mis a le regarde de la tête au pieds. Et je me tourna est regarda le tonneau et regarda le nom qui était inscrit dessus, et je me mis a cire
– Françoise tu a oublie un tonneau de fruit sèche
Et je les vus se pencher a la rambarde et me dire
-ok merci melody de me l avoir dis
Et elle descendis de la passerelle et fis rouler le tonneau jusqu’au navire, et je la vis monter le tonneau sur le bateau. Temps qu’a moi je me retourna et je me remis a regarde le jeune homme je peut vous dire qu’il était très beau mais bon sa s’arrete la, et je fini par lui dire
-pardonne moi de ma maladresse j’aurais pus vous tuer
Je continua a le regarde je voulais voir se qu’il aller me dire, je pouvais voir que certain regarde me regarde il vos dire que j’était habille d’un pantalon noir d’une chemise blanche a dentelle ainsi que d’un gilet noir et d’un tricorne et d’une paire de collant blanc avec des chaussure noir avec une ceinture rouge autour de ma taille c’était ma façon de m’habiller vus que j’étais un pirate . Et je lui redit
-je me présente je m’appelle mélody, mélody kirkland et vous
Oups ou j’avais la tête j’avais oublie de dire quelque chose d'importent
-au fait vous n’ête pas blesse dit moi
Je pouvais voir qu’il regarde mon arme, pourquoi regarde t il mon sabre ainsi il faut dire que mon sabre était entre le katana et le sabre de pirate disons que ses pas un sabre comme tout les autres

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