Pirates-Dream
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 Seth K.Brunel [End]

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Seth Kingdom Brunel

Seth Kingdom Brunel


Messages : 24
Date d'inscription : 14/11/2010
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Journal de Bord
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Seth K.Brunel [End] Empty
MessageSujet: Seth K.Brunel [End]   Seth K.Brunel [End] Icon_minitimeLun 15 Nov - 1:13

    ♦ Seth KINGDOM BRUNEL♦


    » Identity Card «

      Seth K.Brunel [End] Sanstitre1ofk
    Seth K.Brunel [End] 656556th56pngSeth K.Brunel [End] 484698PHpandorahearts6954617100100jpg
    Seth K.Brunel [End] 65715723856807pngSeth K.Brunel [End] 354806gilbertnightrayjpg
    Gilbert Nightray / Pandora Heart
    Zerochan.net / Google / E-shuushuu.net
      • Nom : Kingdom Brunel
      • Prénom : Seth
      • Âge : 22 ans.
      • Nationalité : Anglais
      • Sexe : Masculin
      • Sexualité : Bisexuel / Tendance Homosexuel
      • Statut Social/Rang : Aristocrate
      • Métier/Fonction : Marchant ( Commerce d'armes ) / Marquis
      • Arme(s) : Manie bien les armes asiatiques comme le Tonfa, le Nunchaku.
      Possède aussi un fusil et un Poignard ( Longueur de 19 cm, Manche Noir et Bleu ).


    » What are you looking for ? «
    Seth K.Brunel [End] Sanstitre1ofk

      Peut-être l’avez-vous déjà aperçu, l’espace d’un instant, le temps d’une minute, une heure. Un frôlement, un croissement, une discussion, une vente, des accrochages. Il a le moyen d’accrocher le regard, de ne pas se faire oublier. Autant par sa façon charmante de se tenir, par la voix suave, grave et masculine, son accent anglophone particulier. Marquis Kingdom Brunel. Si son nom vous revient en mémoire, si son souvenir est flou, son être impressionne, donne des frissons, se détache des autres. Peu importe le nombre d’heure que vous passerez à le regarder, à l’étudier, il fera toujours son possible pour que vous ayez l’œil sur lui, et personne d’autre.

      Si ce n’était que de son distinction et de son charisme, ce serait trop vite dire. Son charme ne se limite pas qu’à cela. De grande taille, il a toujours su impressionner les dames de haute cours, mais aussi les hommes, qu’il peut souvent regarder droit dans les yeux, sans aucun baissement de tête. Oui, il est grand, il le sait très bien et profite grandement de son 1 mètre 79 ( 5 pied 8 ). Il s’agit d’un homme svelte, puisque l’usage de ses muscles n’a jamais été une chose qu’il a préféré, mais avec le temps, et avec son commerce particulier, il a dut apprendre à s’en servir, pour le bien de sa vente, mais aussi de son corps, qui ne s’est qu’amélioré avec les années. C’est un autre atout qui lui a permis d’avoir les regards de nombreuses personnes, l’attention et le don de les attirer à lui. Encore là, ce n’est pas encore fini. Son visage, encadré par sa chevelure noire mi- longue, lui tombant en mèche ondulé sur son front, lui donnant un air portugais, rafiné. Ce qui complète ses airs d’ailleurs, de pays chaud, de méditerranés et du sud sont ses yeux jaunes, perçant, éclatant, doré. Cela semble faire toute la différence chez lui, lui donner cette sensation de distance, donner l’impression qu’il vient de loin et qu’il peut vous amenez avec lui, faire découvrir. Son teint pâle est le seul élément qui nous fait dire qu’il n’est pas du Sud.

      Habillé toujours sobrement, se limitant au couleur sombre comme le noir, le bleu, il garde toujours une part d’élégance dans ses habits, appréciant les chemises « elegant gothic » avec les cravates de son époque et les cols pirates ou contemporain. Il refuse de porter toute chose en dentelle et apprécie le coton et la soie. Il porte souvent un long manteau sombre tombant jusqu’à ses genoux, les pantalons simple sans grand extra et surtout, de haute botte noire typique de l'époque victorienne. Sinon, lors de très grande occasions, il sort les vêtements plus digne d’un Marquis, laissant tomber son long manteau pour des vêtements dignes des plus grands aristocrates, se penchant sur les teintes de bleus mettant ainsi la valeur sur ses yeux jaunes, sortant les bijoux en argent, les chapeaux de luxes, les chemises plus travailler les unes que les autres et attachant ses cheveux légèrement sur le côté pour les placer sur son épaule. Ses gants blancs sont dans ses rares occasions remplacer par des semblables, mais noire et soudainement, il lui prend une envie d’éviter de fumer.

      Malgré son physique charismatique, le jeune homme de 22 ans garde une dépendance qui se remarque facilement dans la première heure qu’on se tient avec lui, la cigarette ou le cigare. Il fume beaucoup, non pas comme une cheminé, mais en grande quantité. En général, c’est ce qui cache son sourire professionnel, doux et charmant. Par contre, il s’est bien se tenir, de distinguer des autres, et possède une influence sur les gens qui dépasse l’entêtement. Il a appris à se servir de ses avantages même dans les pires situations, ce qui fait de lui un homme qui mérite bien son statut de marquis, qui sait parfaitement comment l’utiliser pour son bien et celui de ses affaires.

      Il s'agit peut-être d'un homme de la terre, il possède tout de même certains « suppléments » qui font souvent toute la différence. On parle en premier de son piercing à l'oreille, entourant une partie du lobe, en or pure et scintillant, de sa ceinture sur laquelle il transporte son poignard et son arme a feu. Il ne part jamais sans arme sur lui, c'est quand même un vendeur d'armes, mais même, il les apprécie grandement, les nettoyants régulièrement, surtout son fusil. Il semble vouloir y vouer une importance démesuré. L'autre attrait se trouve être la longue cicatrice qu'il possède le long de son torse, partant un peu plus bas que l'épaule et descendant jusqu'à la moitié de son ventre.






    » Into your Head «
    Seth K.Brunel [End] Sanstitre1ofk


      Il est celui que tout le monde veut qu’il soit, celui que tout le monde voudrait avoir pour soi. Le modèle exemplaire du riche et noble gentleman, avec n’importe qui. Que ce soit un homme ou une femme, un humain reste un humain. Que ce soit un riche ou un pauvre, il les considère tous sur le même niveau, même si il a tendance à être peu en contact avec ceux qui sont moins riches. Mais cela, ce n’est simplement parce qu’il agit ainsi avec les gens. Il est gentleman jusqu’au bout des ongles, calme, connaissant parfaitement les bonnes manières et très courtois. Il serre les gens avec un sourire qui ne peut les faire douter sur son attitude envers eux. Il agit comme le code voudrait qu’il soit. Il fait en sorte pour que personne ne soit mal prit, ne gênant personne et faisant toujours en sorte pour que son hôte se sente bien à ses côtés, à l’aise et dans le meilleur des états. Et c’est ainsi que tout va pour le mieux. Si son caractère s’arrêtait là.

      Car en fait, c’est simplement rien. Il est d’un complexe que peu arrive à comprendre. Il s’oppose complètement à l’image qu’il donne aux autres, car autant qu’il est gentleman devant les uns, autant il peut être une vrai crapule, tout en gardant son calme si particulier. Il s’oppose à l’harmonie, à la perfection, faisant toujours son possible pour paraitre comme la victime à l’intérieur de cette mercerie.

      C’est un noble ambitieux, qui s’est parfaitement où il va. Il veut réussir et y arrive si facilement, ce qui le pousse à toujours aller de plus en plus loin, à connaître de plus en plus de moyens de réussir, d’avoir tout à sa portée, que ce soit l’argent, le titre, ou l’objet qui hante ses désirs les plus profond.

      Tout au contraire de ce qu’il laisse entrevoir, c’est un jeune homme plutôt orgueilleux, qui se considère au-dessus des autres. Car il faut bien l’avouer, manipuler les gens si facilement et avoir tant d’élégance en le faisant, ce n’est pas donner à n’importe qui. Il s’agit d’un don que la nature lui a donner, et qu’il maitrise aussi simplement que le sourire qui fait fondre ses demoiselles, ses remarques douces et qu’il laisse sous-entendre bien plus qu’elles le font croire à un jeune noble qu’il rencontre pour la première fois.

      Il complote facilement dans le dos du monde, et pour réussir, il est prêt à se lier avec le premier offrant le meilleur qui soit, que ce soit la pire des crapules ou le plus digne de la royauté. S’il a un but à attendre, il réfléchira le mieux qu’il peut trouvant la solution la plus complexe qui existe, mais celle qui démontrera de son potentiel, de son intelligence et qui lui demandera le plus d’effort à fournir. Il n’est pas niais, il aime mettre tout son corps et son âme à la tache. Il fera toujours preuve de ruse et de réflexion, tout en agissant comme un bon gentleman le doit. C'est ainsi que cela doit se passer selon lui.

      Mais, encore une fois, si sa personnalité s'arrêtait là, se serait simplement trop facile. Il n'utilisera jamais la violence pour arriver à ses fins, étonnant pour le vendeur d'armes de toute l'Angleterre, le plus réputé, celui qui a le don de savoir exactement l'arme qui glissera le mieux entre vos doigts, celle qui tuera du premier coup ses victimes. Drôle, n'est-ce pas ? Oui, il n'aime pas la violence, quand c'est lui qui en fait usage pour ses objectifs, mais pour les autres, ça ne le concerne plus. Il a une certaine attention envers ses armes, c'en ai presque stupide, mais voilà, il porte une attention particulière à ce qu'il possède, et tant qu'il y a son nom dessus, il aime qu'on en fasse usage comme il se doit.

      Et comme cela est dit si souvent, il considère tout le monde identique, les pirates sont pour lui des gens comme les autres. Cruel, peut-être, et alors ? C'est comme cela que leur affaire roule pour eux. Il n'a jamais compris la haine des nobles envers eux, parce que peut-être que eux sont forcément meilleur ? Et bien non. Le pire dans tout cela, c'est que si jamais le fait d'être pirate pourrait lui permettre de devenir encore meilleur, de réussir encore plus, il le ferait sans hésiter. Un noble qui serait d'accord à devenir pirate ? C'est tout un cas. Pourquoi ? Parce que pour lui, être meilleur que les autres est tout ce qu'il veut. Peu importe où les aventures peuvent le mener, si cela peut lui faire découvrir mille et une facette de l'univers, si cela peut l'aider à devenir mieux, a être celui qu'il a toujours désirer, a pouvoir acquérir tous ses désirs, à être définitivement celui qui surpasse tout le monde.

      C'est ainsi que l'on peut définir l'homme. Le jeune homme qu'il est. Le paradoxe qui l'entoure. Le voilà, le complexe fondamental. il est un mélange de tout et n'importe quoi. Il est le chaos, le désordre, le mélange d'un tout et d'un rien.



      • Ce qu'il aime : Il apprécie pas mal ce fait de jouer la comédie, le théâtre en tant que tel. Il aime les choses qui le sorte de l'ordinaire, se sentir beau, se sentir meilleur. Il apprécie les Dieux Égyptiens, et aime par-dessus tous les armes Asiatique. Il voue un culte à l'armement à tout genre, et ce n'est pas seulement à cause de la tradition. Contrairement à tout attente, il aime la plupart de tout ce qui se mange, voilà son point faible, il aime manger, et c'est peut-être bien la seule chose pourquoi il ne quittera pas l'aristocratie.


      • Ce qu'il n'aime pas : Il n'aime pas qu'on l'insulte, certaines règles de la noblesse (comme le fait de se fiancer avec quelqu'un qu'on aime pas). Qu'on pense qu'il est violent et cruel à cause de son métier. Il déteste aussi les traitres, les travaux pas fini comme il se doit, la perte de temps. C'est un jeune homme d'affaire. Ah, et étonnamment, il déteste les femmes trop minces, trop raide, sans poigne. Voilà pourquoi il a un penchant pour les hommes plus virils.






    »What happened in your life ? «
    Seth K.Brunel [End] Sanstitre1ofk




      Musique en cliquant sur chaque titre de chapitre.





      It was a rainy day
      Ce fut en ce jour pluvieux que la Comtesse Lindley rencontrait pour la première fois le Marquis Kingdom Brunel. Cette enfant, était une prunelle rare et magnifique. Il n’y avait rien comparé à elle. Sa magnificence était incomparable à celle de tous les autres nobles, déjà à cet âge-là. Elle était l’exemple pur de l’innocence, de la beauté, de la gentillesse. Rien n’y personne ne pouvait détacher son regard d’elle. Et en ce jour de pluie, elle semblait être le rayon de soleil. Encore jeune, elle ne comprenait rien du tout à la vie future qui l’attendait. Elle avait seulement 6 ans et elle rencontrait déjà l’homme qui lui servirait d’époux. Cette enfant, refusa que celui-ci l’appela Comtesse, elle était Anastasia, elle était cette jeune fille là. Même lui ne put détacher son regard. Ses yeux, ses yeux si jeune, ses prunelle rosie avec sa joie, et ses cheveux, si long qui semblait presque touché le sol, couleur soleil. Devant celui qu’elle reconnaissait présentement comme Edwin, elle jouait, comme une enfant, l’obligeant lui aussi à l’accompagné.

      Lui, Edwin Kingdom Brunel était déjà plus âgé qu’elle. Il avait déjà 13 ans et comprenait parfaitement ou ils en étaient tous les deux. Ils avaient 7 ans de différence, et pourtant à partir de maintenant, il devait la considérer comme sa fiancée. Mais même malgré le fait qu’ils soient si différents d’âge, il se sentait embarrassé près d’elle. Elle était simplement trop jolie pour lui. Il n’était qu’un Marquis. Il n’avait rien de particulier, il était d’une simplicité dérangeante, n’avait que ses cheveux noirs et ses yeux tout aussi noir comme atout. Il n’était pas le plus intelligent de sa classe, et il n’avait pas ce sourire qu’elle possédait. Elle avait réussi, en l’espace d’un instant, je lui réchauffer le cœur, de lui faire comprendre qu’elle l’appréciait comme il était. Mais plus tard, serait-elle aussi confiante, aussi magnifique que maintenant ? Seul le temps nous le dira.


      It was a sunny day
      Voilà plusieurs jours qu’ils se voyaient. C’était l’été, le temps était beau, et un au côté de l’autre, avec une distance respectable, il marchait ans la cour de Mademoiselle Lindley. Mademoiselle, s’était bien le cas. Les années l’avait embellie, rendus encore plus belle que dans son enfance. Le temps ne semblait pas avoir d’impact sur elle. Même après 8 ans depuis leur première rencontre, elle était toujours la même. Même maintenant qu’elle avait 14 ans et qu’elle serait dans quelques années apte à se marier à lui, elle semblait toujours aussi confiante, et même décidée. Éloignés des murs du palais, la jeune femme se mit à parler, sa voix, douce et patiente, semblait à celle du plus beau chant.

      « Vous savez, Marquis Kingdom Brunel, je vous ai toujours apprécié depuis ma tendre enfance. Pour moi, vous étiez mon prince charmant, celui qui viendrait sur son cheval blanc, me chercher et m’emmenez loin de mes soucis. Me savoir fiancée à vous m’avez été le plus beau trésor donner du ciel. Par contre … »
      « Par contre, expliquez-vous, Comtesse Lindley. Je ne saurai savoir le fond de vos pensez. »
      « Vous savez, appelez-moi encore Anastasia, c’était un si beau nom lorsque c’était prononcé par vous … Par contre, je me rends compte que votre cheval blanc ne m’emmène pas assez loin de ce dragon. Que je reste près de cette cage que la noblesse m’a donné. »

      Il comprit rapidement ou elle voulut en venir, et resta silencieux. Il comprenait trop bien ou elle voulait en venir.


      It was a windy day
      Trois ans plus tard. Tous les deux, devant l’hôtel se tenant près l’un de l’autre, se tenant à peine main dans la main. La jeune Comtesse avait l’âge de se mariée, et maintenant, elle savait que elle ne serait plus la comtesse qu’elle avait été, mais une marquise. Elle savait maintenant que sa vie prenait un autre tournant, que sa famille la perdait maintenant. Cette jeune Lindley deviendra à présent une Kingdom Brunel. Elle savait que le jour où elle portera un enfant, il aurait le nom de son époux. Qu’à présent, elle n’appartenait qu’à lui et devrait oublier son monde enfantin. Dans sa tête, elle se remémora leur première rencontre, leur longues promenades, leurs discutions, tout cela, elle s’en souvenait comme si on ouvrait un livre et qu’on lisait les pages. C’était écrit la, dans sa tête.

      Sans qu’elle s’y prépare, elle entendit les cloches sonner. Elle dû faire face à la réalité, elle ne pouvait plus être l’innocence qu’elle avait été lorsque ses lèvres furent prise, l’espace d’un instant. Ce geste, aussi futile soit-il, lui rappela que toute son innocence serait perdue ce soir …


      It was a snow’s day. It was the Christmas day.
      Ce soir était la nuit de Noël, ce soir, plusieurs personnes se retrouvait dans la chambre conjugale. C’était enfin le jour que le couple attendait. On allait enfin voir l’héritier de la famille naitre. Les larmes coulaient, les gens se serraient pour tous voir, les curieux se tenait sur la pointe des pieds pour voir, le mari se tenait à ses côtés, et elle, criait, soufflait, souffrait. Ça faisait mal. Pas aussi mal que sa première fois, elle s’en rappellera toujours. Dans ses cris, elle eut le souvenir d’avoir été forcée. Elle eut le souvenir des larmes de son époux qui coulaient pendant qu’il la violait, des parents se tenant près du lit. Il était lui-même forcé à lui faire l’amour, si c’était le mot qu’il devait utiliser. Le Marquis, lui-même eut honte de lui.

      Et elle poussait s’en s’arrêter. Elle voulait mettre au monde cet enfant, et espérait aussi qu’il amènerait le bonheur dans le couple. Ils auraient été heureux, si sa belle-famille n’avait pas été celle qu’elle avait. Si ce n’était que de lui et elle, seulement eux deux, ils auraient été les plus heureux que la terre aie faite. Depuis toujours, ils avaient été destinés un pour l’autre, même par le cœur. Ils s’aimaient, il fallait le dire, mais la famille Kingdom était l’une des plus cruels. Il fallait que l’enfant naisse le plus tôt. Alors, elle espérait que cet enfant amènerait la paix, détruirait le chaos qui régnait. C’est avec cette idée de chaos, de désordre que le prénom de Seth lui venu. Juste avant sa dernière poussée et le premier cri de son enfant, elle murmura à Edwin le nom qu’elle voulait qu’il porte. Il accepta, encore un poids sur le cœur. Et dans le premier cri de l’enfant, la jeune femme sourie, tenant son enfant entre ses bras et son mari à ses côtés. Trois minutes plus tard, deux coups de fusil qui tuèrent les beaux-parents. Et ainsi, ils pourraient vivre heureux tous les trois.




      C’est dans la joie et la bonne humeur, les musique attrayantes, les sourires éclatants, les jours heureux que Seth grandis. Dès sa plus jeune enfance, il fut initié par sa mère à toutes les sortes de jeux possibles et inimaginable. C’était le rêve de tout enfant, vivre dans la bonne ambiance. Les jeux, il ne les comptait plus. Les câlins, il les avait chaque jour, du matin au soir. Les embrassades n’étaient pas d’dépourvu de son éducation. Même le père s’y mettait fièrement, car sa femme était la plus belle preuve qu’une enfance sublime faisait un adulte bon et digne. Leur palais ressemblait plus à une salle d’amusement qu’autre chose, multipliant les jouets de plus en plus. Peu importait si les rires se faisait incessant dans la maison, c’était cela qu’était le bonheur pour le couple. Entendre le fils, Seth, rire avec toutes les joies du monde était leur plus beau cadeau.

      Il pouvait grandir et s’épanouir sans les règles cruelles de sa famille paternelle, et pouvait, aussi aisément que dire bonjour rencontrer les parents de sa mère, avec une facilité qu’ils ne cachaient pas. Depuis le « Meurtre » de Monsieur et Madame Kingdom Brunel, la vie avait prit un autre tournant. Cela avait été un choix, que le fils héritier avait pris. Refusant les immondes traitements, les coups, les dures jours qu’il avait souffert à son fils et portant toujours sur ses épaules le lourd fardeau du viol de sa tendre femme, sa belle et unique Anastasia, lui-même avait pris le fusil, que son père lui avait donné à son mariage, et avait tiré, sans hésitation. Étant le dernier héritier, on cacha le meurtre en disant qu’il s’agissait d’un assassin contre les Marquis. Ainsi ensemble, les trois mains dans la main, ils tournaient en rond ensemble, décidant ainsi que la vie serrait la plus joyeuse pour eux, la plus amusante pour eux et que jamais rien n’y personne ne les arrêterai.


      Avec le temps, le jeune Seth devenu un jeune enfant des plus adorable, quoi que peureux et peu cachotier. Il était calme, mais pourtant énervé en même temps. Lié d’une amitié très forte avec son cousin, le fils de son oncle Lindley, il subit plus les bêtises du jeune homme, Oz, qu’il le suivit dans ses aventures. Cet enfant avait le don, tout comme sa mère, d’attirer les foules, les femmes et les autres enfants de son âge. Il avait quelque chose qui faisait que les gens s’accrochait a lui, mais sa peur restait un peu plus présente, et ce fut surtout pourquoi il eu de la misère à se faire beaucoup d’amis aristocrate.

      Et avec le temps, il dut se faire a l’idée que son enfance se terminait là, maintenant. Encore jeune, même encore trop, le monde extérieur était difficile, et si on le gardait dans l’innocence trop longtemps, il serait trop tard pour le remettre sur le droit chemin. Même Anastasia fut d’accord, mais elle, elle était dans l’incapacité de le faire, elle aimait trop son fils pour être sévère envers lui et de toute façon, il ne l’était simplement pas. Son père, quant à lui, commençait à être moins présent, du a la soudaine poussé de son commerce, tout cela du grâce aux grands changements sur les mers. Les pirates, cruauté de notre monde, se faisait plus puissant, plus grand plus dangereux, et combien de familles, de toutes sortes demandait à présent armes en tout genre, surtout les fusils. Le commerce avait toujours eu le don d’être populaire, mais à présent que ce n’était plus un désir, mais un bien, les demandes se multipliait, et son père, a travers de nombreux voyages, de lui ou ses subalternes, ramenait de terre lointaine plusieurs sortes d’armes en tout genre. Des plus légères au plus coupante, des plus dures au plus bruyante, des plus efficaces au plus ancienne.

      Pendant ce temps, Seth du se faire à la réalité. Être un enfant d’un marquis n’était pas donné a n’importe qui, et aussi il n’avait pas les mêmes obligations que n’importe qui. À l’âge de 7 ans, on l’envoya dans une institution dans le nord de l’Angleterre, pour qu’il y fasse de longues études, apprenne sur le bout des doigts les bonnes manières, qu’il sache comme s’y faire avec n’importe qui. Bien sûr, quitter sa famille s’y soudainement lui fit un choc intemporel, encore maintenant il en retient des séquelles. Et des séquelles les plus grandes les unes que les autres.

      Arrivé dans ce nouveau lieu, il fut pris comme le bouc émissaire, tirée de tout part et tout coté par les plus vieux, bousculer et dénigrer par les plus nobles. Encore avec son cœur d’enfant, il dut se faire une raison, il devenait devenir le plus vite un homme, et les envoyer tous promener. Prenant son courage à deux mains, il se mit le cœur et l’âme à l’ouvrage. Combien de fois ria-t-on de lui, de son petit statut de fils d’un marquis, des rumeurs qui régnait sur les Kingdom comme étant des tueurs, celle qui planait sur sa naissance, indésire. Comment cela avait-il parcouru l’Angleterre tandis que le principale concerné en était peu au courant, voire pas du tout.

      Tout cela eu un impact considérable sur lui. Pendant ces années d’études, de demandes, de courtoisie, il réussit à oublier son innocente innée, ses temps de jeux, et devint comme son nom l’était, un chaos. C’était destiné à être ainsi, semblerait-il. L’enfant qui pendant ses premières années la bas prit soudainement le contrôle de tout le monopole, avec son sourire et ses tours de passe-passe. Combien de nouveaux réussit-il à réduire sous son pouvoir ? Le temps lui-même ne saurait le dire. Il créa son propre monde, entouré de tous ceux qui pouvait avoir d’un bien autour de lui, et peu importe la façon comment il s’y prenait. Combien de jeunes nouveaux se retrouvèrent dans ses draps pour qu’ils deviennent siens, et ainsi, il put installer ses règlements, changeant du tout au tout, avant de devoir retourner chez lui pendant son adolescence.


      Seth K.Brunel [End] 64762626708053png

      IV. Arrogance, Jealousy, Connection


      Retournant enfin au berceau, près de 9 ans plus tard. Il n’était plus du tout le même que dans l’état que ses parents l’avais quitté. De l’enfant mignon et adorable qu’il avait été, présentement, il avait tous les traits d’un riche et noble gentleman. De ses cheveux mi- longs noirs, de ses yeux qui avait maintenant pris ceux d’un bel homme et de sa voix, déjà mué, présentement. Devant ses parents, se fut tout un choc autant pour eux que pour lui. Sa mère avait soudainement prit les marques des années, tandis que son père semblait tout aussi jeune que lorsqu’il les avait quitté. C’était vraiment perturbant. Dans un sens, le câlin aurait été de bienvenue, mais dans un autre, il semblait y avoir eu trop de temps les uns sans les autres pour qu’ils soient capables à présent d’avoir la relation familiale qu’ils avaient toujours eu. La mère en pleura. Elle se rendit trop vite que son idée avait été la pire qui soit, mais il était déjà trop tard pour faire marche arrière.

      Il avait déjà maintenant 16 ans, et était rendu un homme de la grande société. Le choc ne s’arrêta pas là, ce fut surtout lorsque dans le loin, il entendit le rire d’un autre enfant que Seth quitta lentement la porte et se dirigea vers le deuxième étages, montant avec une grâce qu’il n’aurait jamais eu avant. Tout en haut, il comprit rapidement que sa place d’enfant unique avait été remplacée. Il ouvrit la porte de la chambre et y aperçu un garçon et une fille, d’environ 7 ans. Voilà pourquoi pendant ses années, ils avaient eu de la misère à lui répondre dans ses lettres ? N’était-il pas le premier ? Celui qui devrait être au-dessus de ceux-ci ? La fille ressemblait trait pour trait à sa mère plus jeune, et le garçon était le portrait tout craché de son père. Lui, avait pris des deux, eux avaient seulement prit de un. La fille, voyant l’étranger dans le cadrage de porte se mit à pleurer, fortement, tandis que le garçon, contre tout attente, se lança carrément sur lui. Il répéta sans arrêt « Grand frère ! ». Seth eu le goût d’un instant de le repousser, de lui dire qu’il n’était pas de leur famille, mais en le regardant bien, ils se ressemblaient tous les deux. Il avait le sentiment que lui aussi serait envoyé dans cette école. Tandis, que sa sœur, aurait une vie de princesse, non ?

      Voilà pourquoi il s’éprit d’un jeune garçon rapidement, et repoussa toutes les tentatives de la demoiselle. De toute façon, elle refusait de l’approcher, le jalousait que son frère se soit si facilement attaché à cet inconnu et que surtout, elle passait son temps à toujours jouer dans les jupons de sa mère. Son arrogance se fit rapidement ressentir dans la famille. Il n’était plus le même. Il était maintenant rendu le chaos qui détruit petit à petit la famille. Les faux-jumeaux qui avaient toujours été si liés, le père qui passait plus son temps avec son fils ainé, dans le but de lui montrer le métier et de ravoir les années manqué, et la mère, dans la grande dépression. Elle le savait, c’était de sa faute. Chaque fois que Seth posait son regard sur elle, elle ne voyait plus son fils, ses gênes, elle voyait un autre homme. Un autre homme qu’elle ne désirait que pour elle.

      Elle était jalouse, jalouse que Seth soit si près de son fils et pas d’elle, qu’il passe tant de temps aux côtés de son mari, et pas d’elle. Pourquoi? N’était pas toujours aussi belle que dans sa jeunesse ? Mais un simple regard dans la vitre la dissuada. Elle était rendue laide, elle était rendue moche, elle n’était plus aussi belle que dans ses débuts. Ca l’énervait, ca la mettait hors d’elle.

      Seth, quand à lui, apprit très vite les dons du métier. Prenant très vite les moyens pour vendre, son père n’eut jamais été aussi fier. Voilà que son fils démontrait une passion dans les armes, dans son commerce. Son fils qui semblait un peu mince commençait lentement à mettre de côté ses peurs et a manier les armes que son père ramenait d’ailleurs. Son passe-temps favori était de les étudier, de les ouvrir, les découvrir, les arranger, les forger. Au côté de son père, il comprit rapidement qu’il avait de l’importance. Il mania les épées, les fusils, découvrit les poignards d’ailleurs, les armes d’ailleurs. Ensemble, ces deux-là réussirent à vendre des stupidités a des connaisseurs. Un avec son sourire et son charme, l’autre de naturel. Tel père, tel fils.

      Et dans cette entreprise, Seth y découvrit l’attirance. Le désir, la tentation. Il trouva rapidement l’objet de ses demandes. De quelques centimètres plus petit que lui, son désir se retrouvait être l’un des subordonnés de son père qui parcourait les mers à la recherche de nombreux trésors de meurtres. Il prit un temps a l’amadouer, a le taquiner. Au début, ils furent les meilleurs amis, mais l’attirance que Seth avait pour ce jeune Français dépassait tout ce qu’il avait toujours désiré. Le jour de ses 18 ans, il fit en sorte pour l’avoir que pour lui. L’invitant à sa fête, il le séduisant de milles et une façon, et dès le soleil totalement couché, les portes fermés, ils se retrouvèrent entre les draps, ensemble, gémissant, se retournant, se découvrant. Pour la première fois de sa vie, Seth comprit le réel plaisir. Cette relation, ne fut plus que du désir, mais de l’amour. Seth quitta pendant 6 mois ses parents, naviguant sur les mers à ses côtés. Ensemble, eux deux, ils étaient l’un pour l’autre ce qu’ils avaient toujours cherché.

      Mais la jalousie de sa mère continuait a augmenter, les doutes se firent pire et que fut-elle pas la surprise lorsque, maintenant âgé de 19 ans, elle découvrit Seth et un homme de mers en train de le posséder. Sa jalousie devint la plus forte, et elle s’élança, épée dans la main sur eux. La jeune et belle innocente, tendre et douce Anastasia, qui s’était éprit de son propre fils le tuant maintenant, traversant son torse de l’épaule jusqu’au bas de son ventre sous la jalousie. Ce fut un autre choc. Un autre style de choc, car dans les draps, le corps de son fils se retrouvait nu, sans rien sauf les bras de son amant, le sang rouge les couvrant, l’épée trainant sur le sol et le mari arrivant. Son choc fut la mort de son fils, pas de avec qui il couchait. N’était-il pas le même, depuis que sa femme avait été rongé par le temps et la vieillesse ?

      Cette famille, comme la malédiction l’avait dit, avait bel et bien été détruite à cause de Seth, dieu du chaos, de l’enfer et du désordre, celui les dire égyptiens. Si seulement, il n’était pas né, si seulement, il n’avait pas été cet objet forcé.



      Ne portant maintenant que le nom de famille, et vivant dans sa propre demeure, Seth est devenu le prince des armes en Angleterre. Son père le soutenu tout le temps dans ses démarches, mais jamais il ne retourna dans sa demeure. Après un tel acte, il prit un dégout pour sa mère. Elle avait détruit une partit de lui, le réduisant pendant 1 ans à la vie au lit. Pendant un an, ceci suffit à faire disparaitre de ses yeux l’élu qu’il avait porté dans son cœur. Comment cela était-il arrivé ? Tout cela, à cause d’une jalousie. Depuis le début, Seth était né pour faire le chaos, tout détruire sur son passage. Sa seule et unique réussite fut son marché. Son cœur, se fut noir avec le temps. Ses réussites ne furent que le succès de son jeu, de son amusement, et il le comprit très vite. Depuis le début, on aurait dû lui donner tout ce qu’il méritait.

      Il fut toujours mis en dessous, dès son départ et ceci était encore dans son âme. Son arrogance se fit transparente, tandis qu’enfin il prenait le dû que son père lui devait, un fusil armé dans sa main. Cette arme, qui avait tiré le 25 décembre, il y a 22 ans, qui avait tué uen partit des rares Kingdom Brunel se retrouvait présentement dans ses mains, lorsqu’on lui raconta son histoire du tout début jusqu’à la fin. Tous les secrets qui cachait son passé, les tournures que sa vie menait était toute causé à cause d’eux. Son passé ne sera son futur, mais aura un impact considérable.

      Il promit sur cette arme d’être le premier et le dernier de cette famille maudite. Il se le promit à lui-même refusant de se marier avec plusieurs dames qui son père et les autres lui proposait. Si il mourrait, sans héritier, se serait la fin de tout. La fin de cette famille maudite, de sa création chaotique.




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